Le portrait de Marie-Thérèse - Ambassadrice Unsibeaupas

C'est au tour de  Marie Thérèse Steunou de se présenter à vous ! Elle habite Rosières aux salines, village située à 20kms de Nancy, bien connue du monde du cheval grâce à son Haras National. En 2018, pour ses 70 ans, elle a intégré l'aventure Unsibeaupas.

Quelle est ta Profession ?

Responsable infirmière d’un service de maladies infectieuses de 30 lits pendant 23ans, j’ai ensuite intégré un organisme de formation en soins infirmiers pendant 10ans.

Quels sont tes loisirs / tes passions dans la vie ?

Après l’aquarelle, j’ai découvert le monde de l’iconographie et j’aime cette technique qui nécessite respect des traditions, concentration, silence, précision du dessin et qui utilise des matériaux nobles comme le bois d’olivier, les pigments naturels, le jaune d’œuf, les feuilled’or …. 

 Pourquoi as-tu sauté le pas et es-tu devenue ambassadrice de la marque ? 

 La retraite est un moment propice pour de nouvelles expériences et j’ai un besoin vital de contacts humains ! J’ai découvert le métier de VDI par le biais d’ateliers culinaires et la phrase de notre Responsable Secteur devenue maintenant Directrice Développement,…. eu une résonnance toute particulière en moi :

« MTh, je ne te demande pas de vendre, je te demande de communiquer ton enthousiasme … et on t’achètera » ! MERCI PASCALE !

C’est encore et toujours ce qui m’anime aujourd’hui … l’enthousiasme est mon moteur.

Quelle est ta plus grande satisfaction, ta plus grande fierté quand tu présentes la marque ?

 C’est de voir l’éclat dans le regard de la cliente qui découvre, qui essaie nos modèles.

C’est de voir la mariée dont les yeux brillent lorsqu’elle trouve chaussure à son pied devant son amoureux qui la conseille.

C’est aussi d’entendre l’excitation au téléphone de la future cliente qui hésite entre une Céleste, une Gabrielle et qui opte ensuite toute heureuse pour une Jade ! c’est du vécu !

 Comment intègres tu l’activité d’ambassadrice dans ton quotidien ?

 Très simplementen portant les chaussures Unsibeaupas en tout temps et en tous lieux, en les valorisant au quotidien et en les chouchoutant … j’aime et ça se voit !

 Si tu étais une chaussure Unsibeaupas laquelle serais tu ?

 J’aimerais être une Jade de 7cms !

Coup de foudre pour ce modèle ! J’aime la finesse de ses deux tresses faites main qui s’entrelacent, l’élégance de son talon et le confort de sa semelle en Poron.

Plus prosaïquement, je suis Lou ou Chiara … Antoine m’appelle parfois Miss Adèle … eh oui, l’âge se joue de nos désirs et nous oblige à la raison du plat !))

 Quelle est la chose la plus folle que tu aies faite avec une chaussure ? 

 La folie n’est pas dans ma nature mais peut-être un peu de provocation. 

J’aime promener mes bottines rouge croco et j’aime qu’elles se montrent fièrement au milieu de toutes ces chaussures uniformément noires et infiniment tristes. 

Une seule paire rouge dans un univers noir : c’est l’effet whaouh Unsibeaupas !

 Si tu étais une couleur de la collection, laquelle serais-tu ? 

 Le rouge croco sans hésiter !

Le jaune safran ou le bleu ciel pour l’été … le Blush aussi  et le terracotta !!!  c’est dur de choisir !

 Si tu étais un des cinq sens, lequel serais-tu ? 

 Je serais le toucher.

J’aime caresser un cuir lisse, effleurer un velours …. Cette sensation de douceur sous la main … petit plaisir simple qui fait du bien. Je pourrais devenir experte du « bichonnage », cette dernière étape de la confection d’une chaussure artisanale 100% française.  

Si tu devais donner un prénom à une chaussurece serait lequel ? Pourquoi ? 

 Je choisirais le prénom Anna.

Non seulement c’est le prénom de ma petite maman de 99ans mais c’est aussi un symbole.

Il représente le lien qui m’unit au pays de mes grands-parents maternelles : la Pologne .

Mon grand-père a fait mon admiration … il n’avait que la richesse de ses deux bras et il n’a pas ménagé sa peine. Il aimait la France par-dessus tout . « La France, m’a donné à manger » disait-il souvent. Là où il est maintenant, je pense qu’il est fier de ce qu’il a bâti … et moi, je me sens « Anna »  100% française et 100% slave.

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